Employer ce terme lorsque le problème juridique concerne l'édifice dans son entièreté, par ex. en cas de recours du syndicat contre le promoteur au nom de tous les copropriétaires, s'il est question de la gestion de l'immeuble et des relations entre les copropriétaires, ou encore de l'obtention d'un permis pour la construction d'un tel édifice. Si le problème découle de la vente d'une unité, employer plutôt "copropriété divise" ou "copropriété indivise".